Aujourd’hui, il existe de nombreuses propositions concernant la parentalité, que ce soit de l’information ou du soutien : institutions, associations, pôle médical, etc… La difficulté de s’adresser à ces interlocuteurs reflète la peur d’être jugés en tant que « mauvais parents ». Cela sans parler du fait que la modalité d’accès à ces dispositifs est parfois compliquée de par certaines appellations incompréhensibles ou encore les propositions sont méconnues.
Or, lorsque l’on s’adresse aux institutions pour trouver des solutions, nous sommes satisfaits dans la majorité des situations. Il en ressort un problème de lien, de passerelle entre le besoin, la demande, la proposition et l’offre.